










Mai 2025 | ||||||||||
L | M | M | J | V | S | D | ||||
1 | 2 | 3 | 4 | |||||||
5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | ||||
12 | 13 | 14 | 15 | 16 | 17 | 18 | ||||
19 | 20 | 21 | 22 | 23 | 24 | 25 | ||||
26 | 27 | 28 | 29 | 30 | 31 | |||||
|
En ce petit matin de jour de congé, je sentis dès le reveil une forte éxitation, je sentais que j'allais avoir besoin de plaisirs toute la journée... je filais sous la douche et m'amusais a diriger le jet puissant sous mes couilles et mon cul, ce qui me procura une belle érection que je m'interdis de toucher car j'avais une petite course cochonne a faire ce matin là... Je choisis dans ma petite boite a chaussure secrette une superbe tenue de salope, une paire de bas ambre, une guepiére noire entiérement en dentelle et un petit string transparent qui laissé entrevoir ma queue redevenue "rangeable"... voici deux photos que j'ai pris avant de passer mes fringues masculines...
J'aime assez sortir avec mes sous vétement sexy sous mes vétements, mais là c'était pour aller
chercher une paire de botines sur lesquelles je fantasmais depuis un petit bout de temps, ma grande ville offre quelques boutiques de vétements et sous vétements erotiques, et j'avais reperé dans la vitrine de l'une d'elle une petite paire qui m'éxitait à l'idée de percher mes jambes gainés de bas soyeux sur ses talons d'au moins 6cm. Il était environ onze quand je saisis, un peu tremblant d'éxitation, la poigné de ce paradis pour le petit cochon que je suis, un petit message disait de sonner, je fis tinter la cloche et une dame, aprés s'etre penchée pour vérifier que je n'étais pas un bizarre, appuya sous son comptoir et la porte s'ouvrit. J'approchais d'elle et sans doute un peu rougissant lui expliqua que j'avais vu une paire de bottines et que je souhaitais les offrir, elle me sourit et me demanda de la suivre pour lui montrer les chaussures en question...je vous les montrent aussi...
Quant elle me demanda la pointure et que je lui dis, 41... elle eu un sourire vicieux et me dit carrémment et sans aucune gène que j'aurrais pu lui dire que c'était pour moi, rassuré par ce regard complaisant, je m'excusai de ma timidité, elle me dit que j'avais de la chance, car ces pointure ne sont pas demandés tout les jours, il lui restait ma pointure en stock... elle me dit de faire un tour dans la boutique le temps qu'elle trouve mon bonheur... il y avait des présentoirs avec de superbes tenues et ensembles tous plus sexy les uns que les autres, je bandais dans mon tout petit string quand la patronne une femme de 45-50 ans, bien conservée comme on dit, juchée sur les talons aiguilles de ses bottes en cuir noir, elle portait une jupe qui lui arrivait juste au dessus du genoux et bien sur elle portait une paire de collant ou des bas... peut etre des bas!! elle me semblait assez salope pour ça... elle possédait une paire de seins opulents et lourd, bien retenus par un soutiens-gorges dont je devinnais la dentelle sous son chemisier. en me souriant elle me dit que, si je voulais, elle pouvait tirer les rideaux de la vitrine pour que nous puissions procéder à l'essayage, elle me dit qu'elle comprenait bien que je souhaite de la discrétion pour ces choses la... j'acceptais avec plaisir, j'allais peut-etre pouvoir m'exiber devant cette vieille salope que j'avais déja envie de voir me bouffer la queue. Aprés avoir fermé les rideaux elle m'invita à m'assoir sur une chaise qui se trouvait au milieu du petit magazin, elle enleva mes chaussures et s'apperçu tout de suite que je portais des bas, elle me dit...
"ah! oui! vous étes un petit cochon vous, j'aime bien les petits salauds comme vous, vous devriez me montrer tout ça, pour que je vous donne mon avis..."
je me déshabillais comme ça, devant elle a genoux au milieu de la boutique, quand elle eu découvert ma guépiere elle me dit que ça m'allait plutôt vraiment bien, elle ajustat mon string sur ma bite avec dificultée car la situation me faisait bander et me dit de passer les bottines pour me rendre compte dans les miroirs... ces bottes me faisait les jambes encore plus longues et me cambrais le cul de façon que je me sentais vraiment exposé comme une pute, la patronne se mit derriére moi et commença a carresser tout mon corps du haut en bas, cette grosse cochonne éxitée m'a mis bien vite la mains dans la culotte et s'est mit a me branler doucement dans le tissu trés fin, elle approcha de mon oreil et me dit que son mari qui était à l'étage adorerais pouvoir matter tout ça en me dissant qu'il aimait voir sa femme faire des cochonneries avec une petite chienne comme moi, en tout cas elle avait compris comment me parler, et ça m'éxitait que son mari me découvre dans cette tenue au milieu de son magasins...