Voila quelques bonnes idées recettes pour les longues soirées d'automne...

LIVRAISON

 

 

Le travail de livreur en restaurant peut réservé de bonnes surprises, une expérience troublante m’est arrivée il y a quelques années, un souvenir aussi brûlant que furtif. Ayant quitté mon entreprise vers 8h, mon premier client se trouvait a quelques kilomètres, un restaurant de standing ou je craignais de ne trouver personne a cette heure matinale, ma livraison dans les bras je sonnais a la petite porte de la cuisine, après un peu de temps la porte s’est ouverte sur la patronne que j’avais déjà aperçue quelque fois, encore un peu endormie et vêtue de sa robe de chambre, je m’excusais de la déranger si tôt et entrais dans la cuisine. Cette femme d’une quarantaine d’années ne m’en voulais pas en me disant qu’elle devait se lever de toute façon. Pas très grande, elle possédait de jolies rondeurs qui me donnait directement des idées cochonnes, elle me dit de l’accompagner avec la commande dans la chambre froide afin de mettre au frais les produits au plus vite, le grand frigo était très chargé et elle dut s’accroupir, me faisant face, pour faire un peu de place a mon grand carton. L’effort a bout de bras lui fit ouvrir les jambes et je vis avec bonheur les pans de sa robe de chambre de décroiser pour me laisser voir ses jambes et même sa culotte en satin et dentelle de couleur rose pale.…

 

 

Quand elle eut fait de la place en se retournant vers moi elle s’aperçue que mon regard était clairement focalisé sur son entrejambe.

Elle changea de ton immédiatement…

_ Dis donc petit cochon, faut pas te gêner.

_ excusez moi Madame, je ne peux m’empêcher de regarder et vous avez raison de dire que je suis un cochon.

Après avoir rangé ma livraison elle referma la porte de la chambre et me dit de la suivre jusqu’à un plan de travail en plein milieu de la cuisine, un marbre qui sert je crois a faire de la pâtisserie, elle se retourne vers moi et dénoue sa robe qui s’ouvre sur une paire de gros seins encore très ronds mais assez lourd et un peu pendants.

 

_ allez! Bouffe moi les seins salaud, et dépêche toi mon mari est parti faire les courses, on a pas beaucoup de temps.

Je me jette comme un affamé sur la poitrine de cette patronne sévère qui m’excite à me parler de cette façon et je suce ses gros tétons en la faisant gémir de plaisir, pendant ce temps elle fait tomber mon pantalon et me caresse vigoureusement la queue a travers mon boxer, cette vieille pute autoritaire me donne déjà envie de lui éjaculer sur sa belle gueule de salope un peu bourgeoise. Après quelques minutes, elle me demande si j’ai envie de lui bouffer le reste, je confirme en lui répondant « tout le reste Madame »…

Elle monta alors sur ce plan de travail et ce mis a quatre pattes, me présentant a hauteur du visage son gros cul encore caché par son slip, vision au combien bandante…

 

_ baisse ma culotte et bouffe moi tout ça petit cochon, et applique toi sinon tu seras puni…

Elle me pris par les cheveux et s’appliqua mon visage entre les fesses en appuyant bien fort, je senti directement une bonne odeur de jus de salope et une humidité importante qui sortait de sa chatte poilue, je lapais son cul a grand coup de langue en écartant ses fesses de mes deux mains, ce qui déclencha une nouvelle volée d’insultes et de mots crus qui me faisait bander très dur. Elle coulait de mouille sur le plan de travail ou son mari allait faire la cuisine quelques minutes plus tard.

La patronne cochonne se retourna vers moi et se pencha vers ma queue pour me faire une grosse pipe en gorge profonde…

_ Crache moi sur la gueule salaud! Je veux tout ton jus…

En quelques va et vient mon sexe explosait par longs jets crémeux venant s ‘écrasé sur son visage. Une jouissance extrémement intense qui me laisse un souvenir merveilleux.